• Je me suis retrouvé là, dans un lit qui n'était même pas le mien, sans plus aucun souvenir. J'avais l'impression que ça faisait d'indénombrablejours que je dormais. Mais qu'avais-je fais, la nuit dernière. Il ne me semblait pas avoir bu. Comment ai-je pu perdre la mémoire comme cela. J'entendais l'eau coulait, des assiettes bougeaient, comme si quelqu'un faisait la vaisselle, j'appréhendais de voir où j'étais tombé et en même temps impatient de savoir ce que j'avais fait.

    04. Le Réveille

    Alors, je me suis lancé, de l'autre côté de la porte ce trouvé une femme, blonde, mince, vêtue comme une guerrière. Elle avait l'air si douce, si joyeuse. Sa peau était doré, ses yeux brillaient, son sourire illuminé la pièce. Les questions s'accumulaient .

    04. Le Réveille

    - Bonjour ma petite Dame !
    - Ah ! Vous êtes réveillé, j'ai faillit venir couper court à votre sommeil, mais vous dormiez tellement bien, que je n'ai même pas osé.
    - Il le fallait, je ne suis pas chez moi. Et d'ailleurs qu'est-ce que je fais là, je ne vous connais pas .
    - Et bien Monsieur, je vais tout vous raconter.

    04. Le Réveille

    - Et bien je vous écoute !
    - Vous n'allez pas me croire, vous avez du subir une perte de mémoire, je vous ai retrouvé il y a quelques heures en bas de mes escaliers, inconscient.
    - Mais ? Comment ? Qu'est-ce que je faisais là !
    - Vous vouliez peut-être me rendre visite, je suis votre nouvelle voisine. Peut être que vous vouliez en savoir plus sur moi.
    - Je ne m'en souviens pas .

    04. Le Réveille

    - Je n'en reviens pas ! Ce n'est pas possible de perdre la mémoire comme cela, vous ne m'avez pas emmené à l'hôpital ?
    - Non Monsieur, je vous ai porté, traîner et vous ai allongé sur mes draps. Je venais vous voir régulièrement et je recouvrais votre front avec un peu de glace, cela à du vous faire le plus grand bien.
    - Mais ce n'est pas possible je n'ai pas une bosse, pas de bleu, je n'ai mal nulle part .
    - Considérez ça comme un miracle alors !

    04. Le Réveille

    - Je n'allais quand même pas vous laissez là, comme si de rien n'était, il est de mon devoir d'aider les gens.
    - C'est si généreux de votre part, vous m'avez l'air tellement gentille . Comment pouvez-vous d'ailleurs ?
    - Comment ça ?
    - Je suis réputé comme la " Grande Bête " et vous, vous m'avez laissé occuper vos draps, vous m'avez soigné, apporté toute votre attention. Ce n'est pas très courant à Oasis Springs.
    - Croyez-moi, monsieur, ce n'est pas les " Grande bête " qui font peur à Melle Ozaley !
    - Oh ! Alors, c'est donc comme cela que vous vous appelez, c'est un joli prénom.
    - Et vous ?
    - Oh ! Moi c'est Harry. Je suis enchanté Mademoiselle .
    - Moi de même, mon cher Monsieur.
    Alors, j'ai rencontré là, cette si belle et généreuse femme. Qui m'a en quelque sorte sauvais la vie, je suis resté un peu de temps auprès d'elle pour en apprendre un peu plus sur elle, sur son arrivée, son passé. On a parlé pendant des heures et des heures, je ne me suis même plus soucié de mes propres besoin, j'étais encore tout retourné, encore fatigué et ma vessie allait bientôt exploser.

    04. Le Réveille

    J'ai d'ailleurs voulue lui faire une blague, on dit que faire rire une dame et un bon point pour se rapprocher. Elle me tentait bien moi celle là.

    04. Le Réveille

    - BOUH !
    - AHHHHHHHHHHHHHHHHH ! Harry !

    04. Le Réveille

    - Je croyais que tu étais une guerrière.
    - Ne surprend jamais une guerrière, elle risquerait d'être méchante !

    04. Le Réveille

    - TU TU TU ! TU TU TU ! J'ai réussi, je voulais voir si tu étais vraiment une vraie de vrai !
    - Une vraie de vrai ?
    - Une dure à cuir, une vraie guerrière quoi ..
    - Enh, Harry, allez sa suffit.

    04. Le Réveille

    - Allez viens dans mes bras, belle princesse, la " Grande bête " est là.
    - Très bien, mais sert moi fort alors !
    - Je risquerais de te casser en deux, on va y aller en finesse et puis aurais tu l'amabilités de me raccompagné ?
    - Bien évidemment, il suffirait que tu rechutes.

    04. Le Réveille


    - Bien alors, nos chemins se séparent ici, disait elle .
    - Oui, mais ...( Baille ) ... Nous serons amené ... ( Baille ) ... à ...

    04. Le Réveille

    - Oh ! Non ! Là je n'y suis pour rien !

    04. Le Réveille

    - Le bourriquet ! qu'est ce qu'il est lourd !

    04. Le Réveille

    - On mince, vite, il va croire que je l'observais.
    Je me suis réveillé en sursaut, une nouvelle fois, comment étais-je arrivé là pour la deuxième fois, je n'en croyais pas mes yeux, j'avais comme l'impression que je revivais la scène encore une fois. Mais cette fois-ci j'avais crue apercevoir Ozaley sortir de la chambre.
    - OZALEY ! OZALEY ! m'écriais-je .

    04. Le Réveille

    - Oh ! Ozaley ! Inutile de faire semblant, je t'ai vue m'observer.
    - Rassure toi , tu t'es endormi que quelques secondes, cette fois-ci je te raccompagne jusqu'en bas des escaliers.

    04. Le Réveille

    - Et bien Grosse Bébête, il est grand tant pour toi d'aller te reposer.
    - Grosse Bébête ? Cela me rappelle quelque chose, mais je ne serais pas te dire quoi.
    - Ah ? Tu l'as surement déjà entendu quelque part, un habitant du village ta peut-être déjà surnommé comme cela.
    - Tu as surement raison.
    Elle avait beau dire ce surnom était comme un souvenir effacé, j'avais une sensation étonnante en moi, quand je l'entendais prononcer ces mots-là, mais rien, non rien ne me revenais à l'esprit.

    04. Le Réveille

    - Et bien Ma chère Ozaley, ta peau est si douce.

    04. Le Réveille

    - Je te fais une bise, en guise de remerciement, tu es comme... comme.. La sauveuse de ma vie.
    - Oh, ce n'est rien, tout le monde l'aurait fait .
    - Je n'en suis pas certain, mais cela m'a permis de te rencontrer, tu m'as redonné en quelque sorte le sourire, c'est incroyable.
    - Si cela te fait sourire, alors c'est un plaisir pour moi. A bientôt, Ma Bébête .

    04. Le Réveille

    Je suis allé ensuite atteindre mon lit, pour pouvoir enfin me reposer. Pour pouvoir aussi prendre un peu de recul de tout ce qu'il s'était passé, ces jours-là. C'est vraiment surprenant comme ce surnom m'interpeller, c'était comme si dans ma tête on me disait de creuser, comme si mon cerveau avait envie de chercher la personne qui avait pu me le dire, ou tout simplement remettre le souvenir sur ce nom-là, je n'arrivais pas à m'en souvenir, c'était comme un trou noir, comme inaccessible, comme si je n'avais pas le droit de savoir. Mais bon, pour une fois j'avais envie de rester optimiste, c'était surement ma chute qui m'avais tout fait oublier. Dans tout ça j'avais rencontré la princesse de mes rêves, une femme dont j'ai tant rêvé. Elle n'est pas mienne, mais je compte bien y parvenir un jour.

    04. Le Réveille


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  • Du coté de Evy



    Tout d'un coup, pif, paf, pouf me voilà dans une toute autre dimension, ou bien un tout autre monde. Alors que la neige commençait à tomber chez nous, ici c'était le grand soleil qui régnait, j'étais arrivé dans un espèce de parc composé de milles et une fleurs.

    17. Jeune et insouciant

    C'était donc là, que le copain du copain à ma Maman c'était fourré ? Un parc. J'avais du mal à en croire mes yeux, devant moi ce porté une échelle toute mystérieuse, je me demandais à quoi elle pouvait bien servir. Des petites maisonnettes, de jolie étangs et même de jolie poubelles.

    17. Jeune et insouciant

    J'ai donc avancé à petits pas de souris, pour tomber nez à nez devant une femme, crâne rasé, pied nu, avec un tee-shirt remplie de peintures. Je me suis demandé si ce n'était pas une de ses pauvres dames, qui boit et dort sur les bancs, avait-elle un toit ? La question n'était pas là. Je me suis permis donc de l'a réveillé :
    - Madame ! Je crois bien que vous vous êtes assoupi là !

    17. Jeune et insouciant

    - Ah ! Vous voilà reveillez ! Bien le bonjour cher Madame !
    - Qu'est ce que tu me veux bonhomme ?

    17. Jeune et insouciant

    - Rien de bien particulier, pouvez vous me dire où l'on se trouve ?

    17. Jeune et insouciant

    - Oh ! Petit Biquet ! Il a perdu sa Maman !
    - Non, non vous voyez je viens d'un autre univers, je me demandais juste où j'étais ...
    - J'aurais tout entendu ! Petit bonhomme, nous sommes à Willow Creek ! Tu es amnésique, tu as perdu la tête ? Sinon ça va tes neurones y fonctionne toujours, on t'a maltraité ? Où fait je ne sais quoi ?
    - Rien de tout cela Madame, vous êtes bien trop grande pour comprendre.
    Rah ! Les grands je vous jure, on ne peut jamais leur poser des simples questions, sans qu'ils nous répondent par d'indénombrables questions !

    17. Jeune et insouciant

    - Que fais-tu ici, alors ?
    - Je viens de vous le dire, mais je crois bien que c'est compliqué à comprendre chère Madame.
    - Oh ! Et bien, pourquoi me dérange tu dans mon sommeil ?
    - Je pensais qu'en parlant à une grande comme vous, j'aurais plus de réponses à mes questions, voyez. Mais non, je vais donc aller voir les enfants de mon âge, peut-être qu'eux éclaireront ma lanterne.
    - Bien. Aurevoir, mon p'tit !

    17. Jeune et insouciant

    Dans ce bateau, les enfants se croyait comme sur un bateau pirate, alors j'ai enjambé la marche et me suis mis du côté du canon à bulles.
    - J'ENVOIE LES GAZ MES CHERS COÉQUIPIERS ! NOUS ABATTRONS LA BÊTE ! FAITES-MOI CONFIANCE !

    17. Jeune et insouciant

    Et là une petite fille à la peau chocolaté, a rétorqué :
    - Et bien PIRATE ! Qui êtes-vous pour intervenir dans notre plan ?

    17. Jeune et insouciant

    Alors, on est descendu du navire, pour se présenter.
    - Bonjour ! Moi c'est Evy ! Je viens juste d'arriver dans votre monde ..
    - Hum ! Mystérieux ! Moi c'est Océane .

    17. Jeune et insouciant

    Elle m'a donc dit de la suivre. Nous sommes arrivés au bar du parc et nous sirotions un verre de jus d'orange. Ce moment était muni d'un extrême silence. Elle me regardait niaisement, le sourire en coin, figé. Ses yeux fixaient mes cheveux et mes yeux. Main sur la table, les jambes qui s'agitaient, je me demandais comment je pouvais interrompre l'ange qui était en train de passer. Elle paraissait si douce avec sa belle peau chocolaté.

    17. Jeune et insouciant

    Le même matin à Oasis Springs.

     

    Du coté de Prue


    Ce matin en ouvrant mes paupières, mon petit garçon n'était plus là. Après avoir parcouru toute la maison, rien. Toute flageolante j'ai regagné mon lit, je me suis assise sur mon lit, j'ai inspiré et expiré si fort que le monde entier aurait pu entendre mon coeur battre. Mon petit, mon brave petit, mon bébé, n'était plus là.
    Je me suis empressé de gagner mon téléphone pour appelez Eddy .
    - Allo ? Eddy ! Mon dieu Eddy !

    17. Jeune et insouciant

    - Prue ? C'est toi ?
    - Oui ..
    - Qu'est ce qui t'arrive, tu as la voix qui vibre ?
    - C'est Evy .. * Rennifle *
    - Et bien dis-moi ? Qu'est ce qui lui est arrivé ? il est tombé ?
    - Non .. * Rennifle * .. Il a disparu !
    - QUOI ! Bon dieu ce n'est pas possible.. ! Ecoute Prue, bouge pas j'arrive, on va régler ce problème au plus vite, respire et ne pense pas au pire, d'accord ?
    - ...
    - Prue, j'enfile mes habits et j'arrive tout de suite !
    - Merci ... , disait-elle d'une voix cassait.

    17. Jeune et insouciant

    Mon petit bonhomme, mais où est-il donc .. J'espère qu'il ne lui ai pas arrivé malheur...
    Respire, Prue, respire ...

    17. Jeune et insouciant


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